Altavoz

Union des accordéons de Jérôme SOULAS et de la batterie de Patrick GIGON, ALTAVOZ distille une musique originale, joyeuse et psychédélique, inspirée des Balkans, de l’Afrique, du Moyen-Orient et du bastringue, dans laquelle l’accordéon se mêle à l’orgue Farfisa, et la batterie aux klaxons et aux jouets.

Après un premier disque en 2016 avec le violoniste Lucien ALFONSO, ils s’entourent depuis de Laurent CLOUET au saxophone alto et à la clarinette, et de Pauline WILLERVAL à la gadulka. Le groupe sort en mai 2019 un nouvel album : « Le Bal des Crépidules » (prod. Cie des Musiques Têtues / distrib. L’Autre Distribution)


Discographie

DISPONIBLE EN CD & VINYLE !

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Distribution

Jérôme SOULAS : accordéons Farfisa
Patrick GIGON : batterie foutraque, objets sonores (jouets, xylophone, flûte à nez, …)
Pauline WILLERVAL : gadulka
Laurent CLOUET : saxophone, clarinette


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Contact

altavozvucnik@gmail.com
Tél. +33(0)6.64.93.36.18

Web : http://altavoz.fr/

Sin Antesia

Sin Antesia photo Eric Legret

Sin Antesia a pour vocation de mêler les mélodies des gwerzioù à des arrangements empruntant au jazz son aspect modal. Ses membres comptent parmi les musiciens d’une génération particulièrement innovante et créative en Bretagne.
Le point de départ est la gwerz, musique de veillée, voix du peuple, radio humaine.

Elle regroupe une multitude de chants historiques, épiques, politiques ou dramatiques, dont les musiciens développent l’accompagnement jusqu’à ce qu’il atteigne sa propre autonomie. Un paysage musical inédit apparaît alors : un chant intemporel s’étend sur d’enivrantes plages sonores, et face à lui, vents et rythmique se déchaînent comme des figures abruptes qui se dressent.


Distribution

Faustine AUDEBERT : chant, piano, fender, rhodes
Régis BUNEL : saxophones alto et baryton
Etienne CABARET : clarinette basse
Jean-Marie NIVAIGNE : batterie
Julien STEVENIN : contrebasse
Julien LE VU : son

– nirmaan-

Une guitare électrique s’énerve, la clarinette basse crie accompagnée d’un violon fou furieux et d’une batterie qui pulse comme un énorme cœur. Puis une voix s’élève, vibrante, cristalline, et avec elle, tout l’imaginaire de l’Inde.
NIRMAAN s’affranchit des frontières des genres, entre rock alternatif, musique classique indienne et pop.
Électrisant et innovant.


Ça a été une aventure inoubliable et sans vous, cela n’aurait jamais pu être possible.
Vous nous avez beaucoup donné en nous accordant votre confiance, amour, bienveillance et reconnaissance.
On vous remercie du fond du cœur, vous public, programmateurs, chargés d’accueil résidence, musiciens invités, journalistes et tous ceux qui ont participé de près ou de loin à l’aventure.
Nirmaan”


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Discographie

nirmaan

Distribution

Parveen Sabrina KHAN : chant
Etienne CABARET : clarinette basse
Pierre DROUAL : violon, claviers
Antoine LAHAY : guitare électrique
Jean-Marie NIVAIGNE : batterie
Julien LE VU / Jérôme TEURTRIE : son

Bêtep – Le chemin de l’arc-en-ciel

le chemin de l'arc en ciel

ciné-concert


L’ensemble musical BÊTEP s’associe à la réalisatrice Oona SPENGLER et au comédien Gabriel DUFAY pour la création d’un ciné-concert convoquant le documentaire et le théâtre.
Ce «docu-concert-vivant» s’inspire de l’œuvre d’Alexandre Spengler (1913-1995), compositeur de musique symphonique contemporaine.
S’inspirant des problématiques exposées par Spengler dans ses écrits, la thématique globale du projet est celle des affres et des joies du travail artistique. La création y apparaît tantôt comme impossible, tantôt comme salutaire.
Le titre du projet, « Le Chemin de l’arc-en-ciel », est celui d’une des dernières œuvres de Spengler qui mêle textes, musique et images. Mais il ne s’agit pas d’une interprétation littérale de cette œuvre, car d’autres textes et pièces musicales de l’auteur y sont convoquées. Alexandre Spengler rêvait de concentrer toutes ses idées dans «Un Oeuvre Total» qui ferait appel à plusieurs disciplines. Il n’y parvint jamais.
BÊTEP décide aujourd’hui de relater cette quête à travers un spectacle dont l’originalité est de reposer sur une triple création : musicale, cinématographique et théâtrale.

La création musicale : La partie concert est une adaptation pour tuba, saxophone baryton, clarinette basse et flûte traversière en bois des symphonies d’Alexandre Spengler. Jamais jouées de son vivant, elles seront arrangées par le compositeur Mael Oudin pour être interprétées par le quatuor BÊTEP. La musique d’Alexandre Spengler s’inscrit dans la lignée de celles de Wagner, Brukner, Scriabine, mêlant post-romantisme et atonalité. Les musiciens de BÊTEP, issus de styles musicaux radicalement différents de celui-là, y ajoutent la trace de leurs influences. Ce frottement crée un objet musical qui s’approche de la musique contemporaine française des années 1950, avec des échos de jazz et de musiques improvisées. Ce nouveau répertoire de BÊTEP se compose de 5 pièces musicales atteignant ensemble une durée d’environ une heure. Deux pièces sont déjà arrangées en 2017, les trois autres le seront en 2018.

La création cinématographique : C’est un documentaire muet, variation sur le silence inspirée par l’oeuvre d’Alexandre Spengler. Au contraire de la plupart des ciné-concerts, c’est un film contemporain, en couleurs, tourné en 2018. Ce n’est pas le portrait de Spengler, mais il puise dans ses thèmes et motifs des pistes pour filmer le réel d’aujourd’hui. Spengler parle de sa « paralysie verbale » (bégaiement extrême qui l’isolait), le film s’intéressera à une autre forme d’empêchement, la surdité. Spengler décrit sa méthode de travail rigoureuse et parfois mystique ; le film observera la retraite d’un moine orthodoxe. Spengler explique comment l’art lui a permis d’exprimer des choses qu’il ne parvenait pas à dire ; on verra un chef d’orchestre au travail, ses codes, ses envolées. D’autres thèmes, tels que l’astronomie, les mondes sous-marins, la précarité sociale de l’immigration russe, seront traduits en images. La réalisatrice Oona Spengler s’inspirera également de ses souvenirs ; sa filiation avec le compositeur n’étant évidemment pas innocente. Mais on ne verra aucune image de lui. Les seules images authentiquement liées à Alexandre Spengler montreront son écriture sophistiquée sur ses partitions et écrits originaux. Le choix de réaliser un film muet est pleinement signifiant ; il évoque le silence de la mort, celui du bègue, celui de l’étranger, celui qui permet l’écoute de la musique.

La création théâtrale : Des extraits de textes de Spengler, rigoureusement choisis, seront interprétés par le comédien Gabriel Dufay. Sa tonalité grave est dirigée comme un cinquième instrument du groupe BÊTEP, mais aussi comme la voix over du film documentaire qui se déroule en même temps. Les passages choisis ne sont pas forcément des illustrations des thèmes abordés dans le film. Au contraire, ils apportent des informations supplémentaires, qui dialoguent avec les images sur l’écran et la musique acoustique jouée en simultané. Ces mots détaillent les ambitions et questionnements de l’artiste. La cohabitation de la musique, du texte et des images : La musique, le texte et le film interviennent parfois simultanément, parfois à tour de rôle. Un dialogue s’établit, un aller-retour entre sons, images, et mots. Ce spectacle pluridisciplinaire s’invente en défiant les lois du genre ciné-concert. Ici, ce n’est pas la musique qui vient illustrer un film. C’est le film qui découle d’une musique préexistante, et de l’univers de son auteur.


Hommage à Alexandre SPENGLER.

Alexandre Spengler est né à Fontenay aux Roses, aux environs de Paris le 19 décembre 1913. A l’âge de 15 ans, il fut admis dans la vénérable Schola Cantorum dirigée par le compositeur de renom Vincent d’Indy. Il y apprit la composition et la direction d’orchestre et termina ses études armé d’un diplôme de chef d’orchestre qu’il n’utilisa jamais car il dédia tout son bagage musical à la composition. Au début des années 1930, il rencontra Nadia Boulanger, la légendaire professeure de musique qui l’encouragea à se concentrer sur la composition et le présenta, au cours de ses fameux « salons », à des maîtres tels que Charles Koechlin, Florent Schmidt et Ivan Wychnegradsky qui demeura son ami pour la vie. En 1933, il épousa la future écrivain, peintre et marionnettiste Natacha Prochorow avec laquelle il aura trois fils. Au début des années 1950, Alexandre Spengler mis en chantier une œuvre musicale majeure à tendance notablement mystique, inspirée en partie par l’oeuvre orchestrale de Scriabine. Il commença à cette époque à élaborer la substance musicale qui, plus tard, sera cristallisée dans la Symphonie Liturgique du Dodécalogue, pour 130 exécutants et ensemble choral de 180 participants. En prélude, il composa l’Annonce du Dodécalogue pour jeu de cloches, 4 pianos, percussions métalliques et fanfare. En outre, il écrivit de nombreuses œuvres littéraires dont les plus récentes s’intégraient dans son Dodécalogue formant ainsi l’Oeuvre Totale, le « Gesamkunstwerk ». Au milieu des années 1980, son œuvre et son usage de multiples formes d’expressions artistiques fut célébrée dans l’exposition organisée au Kunstahlle de Zurich par le légendaire curateur Harald Szeeman : « Der Ham zum Gezamkunswerk ». Dans les années 1970/1980, son fils Pierre Spengler, producteur de films, présenta ses œuvres aux nombreux luminaires de musiques de films avec lesquels il collaborait tels que John Williams, Lalo Schiffrin, Jean-Claude Petit et Jocelyn Pook et tous reconnurent l’exceptionnelle originalité de ses compositions. Alexandre Spengler vécut à Paris jusqu’à son décès en avril 1996.


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Distribution

BÊTEP
Grégoire BARBEDOR : tuba
Régis BUNEL : saxophone baryton
Etienne CABARET : clarinette basse
Antoine PÉRAN : flûte
&
Gabriel DUFAY : narrateur
Oona SPENGLER : réalisation du film
Joachim MOUFLIN : son


Marie-Pomme CARTERET : montage film
Sébastien KRILOFF : chef opérateur et étalonnage film
Maxime DUBUIS : prise de son

Co-productions : Ty Films et La Grande Boutique


Contact

diffusion@musiquestetues.com
Tél. +33(0)6.64.80.94.85 / +33(0)6.63.06.34.12

Moger Orchestra (2017)

Tous ceux qui ont écouté l’album Time Will Defeat de Moger savent qu’il est possible de faire de la bonne musique avec une clarinette basse, un saxophone baryton, un tuba, une basse électrique et une batterie. Bien sûr, la poésie acide de Griselda Drouet et son interprétation magistrale par Dylan James sont des portes d’entrée accueillantes pour intégrer cet univers de « basses ». Mais les timbres chaleureux de ces instruments graves, l’inventivité des idées et l’énergie débordante de ces musiciens/créateurs pour relever le défi d’un effectif atypique sont plus que convaincants !

Alors pourquoi faire appel à un arrangeur et ajouter dix instruments à vent supplémentaires ? Certainement pas pour « arranger » cette musique qui fonctionne déjà par elle-même. Le travail d’orchestration a plutôt eu pour objet de libérer les forces sous-entendues dans la musique de Moger, de prendre possession de l’aigu du spectre sonore si cher à nos oreilles, de transcender le bouillonnement qui se crée quand les cinq musiciens sont à l’oeuvre.

Maintenant, ils sont quinze ; l’écriture et l’improvisation se mélangent en une symbiose nouvelle, dans laquelle chaque musicien arrive avec son monde intérieur et le met au service du collectif.

Mael Oudin


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Discographie

moger orchestra
DISPONIBLE EN CD & VINYLE !

Distribution

Dylan JAMES : chant, basse
Nicolas POINTARD : batterie
Grégoire BARBEDOR : tuba
Etienne CABARET, Christophe ROCHER, Nicolas MAILLET : clarinette
Antoine PÉRAN, Frédéric SCHMIDELY : flûte
Régis BUNEL, Nicolas PEOC’H, Maxence RAVELOMANANTSOA : saxophone
Philippe CHAMPION, Romain CADIOU : trompette
Simon LATOUCHE, François TAVARD : trombone
Mael OUDIN : arrangements et direction d’orchestre
Sylvain DESBOIS : son



Moger

brass rock

MOGER [mogœr], « mur » en breton, est la rencontre entre le chanteur et bassiste franco-britannique Dylan James, une section atypique d’instruments à vent et un batteur à la rythmique implacable. Dense et puissant, le son de Moger est une transe puissante en souffle continu, oscillant entre mélodies folk épurées et enracinées, écriture orchestrale complexe, grave et précise, et spoken word.

Après deux disques sortis au Label Musiques Têtues, Time will defeat (mise en musique d’un recueil de poésie anglaise contemporaine de Griselda Drouet) et Moger Orchestra (formation augmentée avec une dizaine de soufflants), le nouveau répertoire de Moger, There must be a passage, se développe autour d’une co-écriture de poèmes de Griselda Drouet et Dylan James.

Tantôt une mélodie folk épurée et enracinée vient chambouler une écriture orchestrale complexe, grave et précise, tantôt le spoken word martèle sa vision sur des triades obsessives assénées par la basse électrique. Mais le silence est aussi de mise pour la voix, l’orchestre de basses reprenant ses droits, tandis que la batterie – soliste – pousse l’ensemble dans l’insoumission le long des sillons tracés par les deux auteurs. Avec There must be a passage, Moger poursuit son chemin unique et décalé.


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Discographie


Distribution

Régis BUNEL : saxophone baryton
Etienne CABARET : clarinette basse
Dylan JAMES : chant, basse
Nicolas POINTARD : batterie
Thomas QUÉRÉ : sonorisation


télécharger le dossier artistique de Moger


Contact

Georgina Becker
diffusion@musiquestetues.com
Tél. +33(0)7.66.23.52.56

Ciné-concert « Le chemin de l’arc-en-ciel »

Mardi 30 octobre à 20h30 au cinéma Le Grand Bleu de Carhaix.

Entre documentaire, concert et lecture, Le Chemin de l’arc en ciel rend hommage à l’oeuvre éponyme d’Alexandre Spengler. Une pièce d’art total mêlant dessin, musique et écriture, imaginée par un artiste génial idéaliste et lucide mais incapable de communiquer.
Isolé et précaire, Alexandre Spengler a travaillé pendant des années à la recherche d’un langage protéiforme capable de traduire le merveilleux auquel il avait accès. En sont restés d’innombrables écrits et partitions qu’Oona Spengler a mis en scène dans un dialogue artistique documentaire.
Différents tableaux se suivent en images – paroles du geste – ils incarnent l’univers silencieux du compositeur, pendant que nous suivons quatre personnages liés par une grandeur indicible : un moine, un poète sourd, un astronome et un chef d’orchestre.
Interprétée par le quatuor BÊTEP, le comédien Gabriel Dufay et les images de la réalisatrice, l’oeuvre d’Alexandre Spengler reprend enfin vie dans toute sa grandiloquence. Tel un voyage sensoriel dans l’intériorité d’un homme anticonformiste, débordant de paradoxes et de fulgurantes beautés.

Oona Spengler : réalisation vidéo
Gabriel Dufay : voix
Mael Oudin : direction musicale et arrangements
BÊTEP (avec Grégoire Barbedor : tuba Régis Bunel : saxophone baryton – Etienne Cabaret : clarinette basse – Antoine Péran : flûte) : transcription musicale et performance

Production : Cie des Musiques Têtues
Coproduction : Ty Films & La Grande Boutique

La Compagnie des Musiques Têtues vous donne rdv tous les mardis !

Pour les vacances estivales, la Compagnie des Musiques Têtues organise tous les mardis midis (de 11h30 à 12h30) un apéro concert gratuit Square de la Fontaine à Rostrenen (près de la Poste) !
Concerts, présentation de labels de disques, jeux pour enfants, producteurs et artisans locaux seront au rendez-vous avec une soirée spéciale le vendredi 2 août !

Au programme :

Mardi 10 juillet
PERAN / LE NET
Antoine Péran (flûte en bois) & Timothée Le Net (accordéon)
Compositions


Mardi 17 juillet
CLAIRE ROSE BARBIER
Claire Rose Barbier (chant, piano, guitare)
Chanson


Mardi 24 juillet
C MAGNIFIQUE
Antoine Lahay (guitare) & Gégé Le Louet (guitare)
Swing manouche


Mardi 31 juillet
CISSOKO / LE PENVEN
Ali Boulo Santo Cissoko (kora) & Cyrille Le Penven (contrebasse)
Bretagne / Sénégal


Mardi 7 août
DERRIEN / L’HARIDON
Louri Derrien (bombarde, trompette) & Yann-Ewen L’Haridon (biniou, sax)
Bretagne (fest-deiz)


Mardi 14 août
ROCHER / CABARET
Christophe Rocher (clarinettes) & Etienne Cabaret (clarinettes)
Improvisations, compositions


Mardi 21 août
VALLET / LE FLOC’H
Maëlle Vallet (kanun) & Jean Le Floc’h (accordéon chromatique)
Orient, Bretagne


SOIRÉE D’ÉTÉ // jeudi 2 août // 19h – Salle de la Fontaine // 5 €

SOLO SOUFFLES ARMORIGÈNES
Michel Aumont (clarinettes)
Energiques, tribales, joueuses…, les « clarinettes armorigènes » de Michel Aumont nous invitent irrésistiblement au voyage…

EBEN
Jonathan Dour (violon et violoncelle), Antoine Lahay (guitare), Julien Stévenin (contrebasse) et le Trio An Teir avec les chanteuses Sterenn Le Guillou, Enora Jégou et Marine Lavigne
Sortie de résidence pour la création New Leurenn#3 initiée par le Festival Interceltique de Lorient : chant et cordes, à danser et à écouter

La Serr’Party, c’est dimanche 6 mai!!

serr' party

La Compagnie des Musiques Têtues présentera la 6ème édition de la Serr’Party sur la ferme de Kerionvarc’h au milieu des serres de l’exploitation. « Un après-midi et une soirée incontournables et un concept original dans le Kreiz-Breizh. » Réservez dès maintenant votre date ! La Serr’ Party c’est le 6 mai, et pour l’occasion la Compagnie des Musiques Têtues invite le Collectif Klam

Au programme :

16h : ciné-concert et partage d’expérience

Ciné-concert « L’exode d’un peuple »: Film sur la Retirada, exil tragique de 400 000 civils catalans et républicains espagnols qui fuirent le régime de Franco. Manu Sabaté : clarinette basse / Yann Le Bozec : contrebasse
Partage d’expérience, autour des migrations d’hier et d’aujourd’hui avec François Jégou et Nadège Verneuil de l’Association Pause Toît et Colette David pour Amnesty InternationalMenguy-Bérenguer

dès 18h – CONCERTS :

MENACE D’ÉCLAIRCIE (fanfare)
DUO MENGUY-BERENGUER (irish)
SPONTUS & MANU SABATÉ (Bretagne-Catalogne)

BAL : les musiciens du Collectif font le boeuf pour vous faire danser

FRÈRES PARANTHOEN
MENGUY-JUILLARD
SABATÉ-JUILLARD
RETRO FUNK JAM’USETTE

Et aussi :

16h à 18h : animations et jeux pour enfants avec « Mad eo jeu » – jeux traditionnels ou contemporains grands formats (Manu Facto)
à partir de 18h30 : dégustation de vins bios et naturels
19h30 – Repas : produits du Centre-Bretagne (réseau Kreiz Breizh Terre Paysanne)

Infos pratiques : Restauration sur place & Buvette

PRIX LIBRE / Ferme de Kerionvarc’h, chez Pauline Cabaret et David Roulleau, 22 110 Rostrenen, tel. 02 96 29 38 71

Double release : Moger Orchestra et Jack Titley & The Bizness le 4 novembre prochain à Kergrist-Moëlou !

moger & the bizness

Les Musiques Têtues clôturent une année 2017 très intense par deux sorties d’albums : Moger Orchestra et Jack Titley & The Bizness, soit 25 musicien-n-es réunis pour l’occasion sur scène. Le Plancher et la Fiselerie, partenaires de la soirée, manifestent ainsi leur soutien à cette compagnie centre-bretonne, qui confirme ici son désir de s’engager dans la production discographique, au service d’une musique actuelle qui s’affranchit des clivages stylistiques.

MOGER ORCHESTRA

Décidément l’édition 2016 du Festival Couleurs du monde nous a révélé de beaux projets artistiques en devenir. Moger et la poésie acide de Griselda Drouet interprété magistralement par Dylan James sont des portes d’entrée accueillantes pour intégrer un univers de « basses ». Les timbres chaleureux de ces instruments graves, l’inventivité des idées et l’énergie débordante de ces cinq musiciens/créateurs relèvent aujourd’hui le défi d’un grand ensemble. Ici chaque musicien arrive avec son monde intérieur et le met au service d’un Moger Orchestra plus que convaincant.
Dylan James chant, basse Nicolas Pointard batterie Grégoire Barbedor tuba Etienne Cabaret, Christophe Rocher, Nicolas Maillet clarinette Antoine Peran, Frédéric Schmidely flûte Régis Bunel, Nicolas Peoc’h, Maxence Ravelomanantsoa saxophone Philippe Champion, Romain Cadiou trompette Simon Latouche, François Tavard trombone Mael Oudin arrangements et direction d’orchestre

JACK TITLEY & THE BIZNESS

En 20 ans de musique, Jack Titley est devenu un chanteur anglophone reconnu. L’auteur, compositeur compte plusieurs cordes à son arc : guitare folk, mandoline et plus récemment banjo 5 cordes.
Il est accompagné par les Musiques Têtues dans la réalisation de son nouvel album enregistré avec son nouveau « band » : The Bizness. Une débauche fusionnelle de styles nés à la fin du 20ème siècle. Esprit pop-retro, textes décadents et contradictoires, comiques et cosmiques. Ça drague côté bluegrass et ballades soul, ça chauffe entre Rocksteady-Chinois et Oldtime-Afrobeat, ça rock, ça chante Gospel-Hiphop ou Blues-Zydeco. Vous l’aurez compris, c’est une addiction à la déca-danse !
Jack Titley chant, mandoline, banjo Danielle Titley chant, guitare Jonathan Casertacontrebasse Gabriel Faure violon Nicola Hayes violon Gurvan Leray harmonicas Joseph Détailleur accordéon Rowen Berrou batterie

20h30 – samedi 4 novembre – salle Lein Roch – Kergrist-Moëlou
Tarif unique 10 € – tout public –
en partenariat avec La Fiselerie (Rostrenen) et Maen Gwenn (Kergrist-Moëlou)

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