De l’évocation du crépuscule à celle de l’aube, les deux musiciennes invitent le public à plonger dans leur perception de la nuit. À travers le violon, l’alto, l’accordéon diatonique et les voix, elles mêlent des morceaux traditionnels ayant accompagnés leurs souliers voyageurs à des compositions. Des chants de résistance circulant dans la clandestinité, à ceux des amours interdites, des berceuses qui éloignent les esprits, aux musiques de transe.

Victoria Delaroziere : accordéon diatonique et chant
Marta dell’Anno : alto, violon et chant
photo : PaquitoCouet

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« Les passantes » est un trio tout terrain pour deux danseuses et un poste radio-cassette. Le spectacle s’articule autour de la chanson française des années 60 à 90 et mélange les esthétiques de la danse contemporaine et de la langue des signes. Accoudé au comptoir, on rêve d’évasion, on parle d’amour avec les mains et les pieds, parfois sur un ton moqueur, parfois grave mais toujours avec poésie. Spectacle tout public.

Lola Volson & Morgan Loy : danse, langue des signes
Photo : Karim Derradji

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Superpêche naviguent dans un univers cinématographique à la croisée de la musique improvisée et composée. Tour à tour rythmiciens mélodistes ou harmonistes, les deux musiciens aux multiples casquettes marient les timbres de leurs instruments d’un ambitus similaire. Chacun des morceaux est une ballade, un chemin de souvenirs et de sensations. Leur son a la fraîcheur du torrent, l’amplitude d’un horizon et le dépaysement d’un voyage dans un pays lointain et aimé où le chamanisme pointe avec respect et discrétion.

Laure Fischer : Saxophone baryton, chant, compositions
Alexis Thepot : violoncelle, chant, compositions

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C’est le reflet de près de quinze années de collaboration que le duo bien connu de la scène actuelle bretonne nous donne avec son nouvel album Melezour – Miroir en breton. Les mélodies décoiffantes et les textes engagés nous entraînent dans leurs univers, où mensonges et réalités s’entremêlent, nous plongeant dans leurs racines et leurs historiettes. Les lignes musicales offrent un portrait à la fois ancré et frais de la musique bretonne contemporaine, vivante et dansante. Devant leur miroir, le duo demeure intemporel, affichant des couleurs éclatantes, vives et radicales de toute beauté !

Yannig Nouget : accordéon diatonique
Rozenn Talec : chant

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CANAN DUO propose un dialogue entre musiques anciennes d’Anatolie et d’Europe occidentale. Avec des arrangements originaux et des compositions plus personnelles, les deux musiciennes font résonner les troublantes similitudes ou les belles différences entre ces deux répertoires. Le son cristallin du saz et celui plus doux de la harpe s’entremêlent et portent la voix claire et puissante de Canan, pour une expression simple et émouvante de sentiments universels.

Canan Domurcakli : chant, saz
Hoëla Barbedette : harpe à leviers

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Sopro da Terra, « Souffle de la Terre », est la rencontre entre des musiciens de part et d’autre de l’Atlantique. Ensemble, ces complices parcourent un répertoire riche en timbres et en sons multiples, augmentés çà et là d’électroniques, à travers des compositions aux rythmiques du Brésil et de Bretagne. Leur musique coule de manière organique aux sons des flûtes, fifres et tambourins, à travers des frevos, des gavottes ou encore des baiãos. Douze ans après leur rencontre et une tournée au Brésil, les musiciens se retrouvent à l’occasion d’une grande tournée européenne des 30 ans de Pife Muderno, l’ensemble du maître « sculpteur de vent » Carlos Malta.

Carlos Malta : flûtes, pifanos et électronique
Jean-Luc Thomas : flûtes et électronique
& Bernardo Aguiar : percussions

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Marcelle rencontre Marcel dans un bal au far far far west un soir de printemps.
Elle au violoncelle magique et lui à la guitare jaune s’apprivoisent, sautillent et s’enchantent malicieusement. La valse musette s’électrifie, et les mélodies de Grèce, Turquie, Macédoine dansent jusqu’à nos tympans.

Marcelle : Lina Belaïd, violoncelle
Marcel : Antoine Lahay, guitare

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Artiste polyvalente, Ophélia Hié est initiée à la musique dès son plus jeune âge par son père Adams Hié, et fait ses preuves sur les scènes bordelaises en jouant avec le groupe familial. Ainsi formée à la danse, au chant et aux percussions (djembé et doums) elle passe à son instrument de cœur, le balafon. Au fil des années, elle apprend le répertoire traditionnel burkinabè et s’intéresse aux précurseurs de l’instrument. Aujourd’hui elle multiplie les collaborations artistiques, comme avec la pianiste de jazz Ève Risser, le tromboniste Fidel Fourneyron ou encore le chanteur de Gorillaz Damon Albarn.

Ophélia Hié : Balafon
Photo : Lia Bala

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